Une agence Stéphane Plaza à Montpellier le 6 mars 2025. GABRIEL BOUYS/AFP Le 3 juillet, Stéphane Plaza a fait halte à Périgueux et Bergerac (Dordogne), pour deux visites dans les agences immobilières qui portent son nom. L’animateur vedette de M6, condamné le 18 février pour « violences habituelles » sur une ancienne compagne – sanction dont il a fait appel –,
Le 3 juillet, Stéphane Plaza a fait halte à Périgueux et Bergerac (Dordogne), pour deux visites dans les agences immobilières qui portent son nom. L’animateur vedette de M6, condamné le 18 février pour « violences habituelles » sur une ancienne compagne – sanction dont il a fait appel –, a commencé une grande tournée à travers la France pour remobiliser ses franchisés.
Alors que le réseau Stéphane Plaza Immobilier a toujours joué la carte de l’hyperpersonnalisation, utilisant au maximum le nom et l’image de l’animateur, nombre d’agences ont durement ressenti les retombées de cette condamnation sur leur chiffre d’affaires. Les vitrines de plusieurs agences ont été taguées et des franchisés insultés. Certaines ont rapidement quitté le navire.
Il y avait donc urgence à sauver le groupe immobilier, détenu à 51 % par le groupe M6 et à 25 % par Stéphane Plaza. Pour contenir l’hémorragie, le réseau a lancé en mai une deuxième marque, autonome, portant le nom de Sixième Avenue – en référence à la sixième chaîne. Les franchisés ont ainsi pu choisir entre les deux enseignes. L’une comme l’autre ont en réalité les mêmes actionnaires, mais l’animateur ne donne de directives que pour Stéphane Plaza Immobilier, précise son entourage.
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